Avant de passer à la gravure proprement dite, c’est-à-dire triturer la plaque avec sa pointe sèche, il s’en passe du temps…
Tout d’abord, l’observation, la prise ou la collecte de photos. Trouver l’inspiration… sans copier!
Ensuite, gribouiller encore et encore. Et encore. Attention à la peur de la page blanche, le plus difficile est de se lancer… Et toujours laisser reposer. Un croquis raté ne le reste pas toujours.
Enfin, quand on imprime, l’image est inversée. Il s’agit donc de reporter le dessin sur la plaque à l’envers. Pour cela, j’utilise le calque (parfois l’ordinateur) les grandes lignes au feutre fin si j’utilise une plaque en rhénalon transparente ou au crayon très gras si c’est une plaque de cuivre ou de lino.
Et peut-être qu’un jour, peut-être, verrez-vous ces gribouillis imprimés?
A bientôt! ????
Bravo, c’est splendide ! Hâte de découvrir la suite…
Oh! merci! ????